La pépite cachée d’Épinay-sur-Seine ouvre ses portes au public !
Deux sœurs ont réhabilité une ancienne usine de confiture nichée sur les bords de Seine à Épinay-sur-Seine, pour en faire un véritable lieu de convivialité. Le prochain événement culturel se déroulera le 20 mai. A partir de cette date, la grande terrasse vue Seine sera ouverte chaque week-end pendant la période estivale. Pour le premier épisode de notre série consacrée aux tiers-lieux du Département, partez à la découverte de la Fabrique Bannier. Vidéo.
Qu’est-ce qu’un tiers-lieu ?
C’est un lieu hybride, ouvert et propice à la création de lien social, au développement d’initiatives collectives, au partage de savoir-faire… et qui réinterrogent les nouvelles urbanités !
Retrouvez tous les tiers-lieux en Seine-Saint-Denis ici.
Pour suivre tous les événements de la Fabrique Bannier, cliquez ici.

Libres comme le jazz
Jusqu’au 21 avril, le festival Banlieues Bleues fête ses 40 ans. Si l’affiche rend hommage aux anciennes stars du jazz qui sont y sont passées, la programmation présente un foisonnement de styles, de tendances, de croisements de genres, les musiques d’aujourd’hui et même de demain.

50 ans de magie et d’exigence au Conservatoire d’Aubervilliers-La Courneuve
Le « Conservatoire à Rayonnement Régional 93 » qui propose des formations en instrument, danse et théâtre, fête cette année un demi-siècle. Renommé « CRR 93 - Jack Ralite » en mémoire de l’ancien maire d’Aubervilliers, ce lieu démontre une fois de plus que la banlieue regorge de talents.

CAP 2030 : 50 millions d’euros pour la culture, l’art, le patrimoine
La culture était à l’ordre du jour de la séance du Conseil départemental vendredi 10 mars avec le vote de "CAP 2030", le Plan Culture, Art et Patrimoine 2030. Un plan d’investissement de 50 millions d’euros sur sept ans.

Suzanne Citron, l’historienne qui donne son nom aux Archives départementales
Le 8 mars, à l’occasion de la Journée des droits des femmes, le nom de cette historienne a été donné au bâtiment des Archives départementales de Bobigny. Enseignante à Paris XIII-Villetaneuse à la fin des années 70, elle fut l’une des premières à questionner la construction de faux mythes nationaux type « Nos ancêtres les Gaulois ».