

Loin de proposer une rétrospective, la 40e édition du festival des jazz continue plus que jamais, pour reprendre les mots de son directeur Xavier Lemettre, à « regarder vers le futur » pour « découvrir des musiciennes et musiciens qui sont en train de transformer profondément la musique ». En témoigne le week-end d’ouverture durant lequel se succèderont douze artistes ou groupes de la scène émergente ou avant-gardiste, parmi lesquel∙le∙s le Ben Lamar Gay Ensemble et sa fusion de jazz, hip-hop, jungle, pop et sonorités brésiliennes, Yeah You et son électro-noise déjantée ou encore la flûte traversière et la harpe électrifiée des incroyables filles de Nout.
Une programmation volontairement « aventureuse et kaléidoscopique » car « la musique n’a jamais été aussi incroyablement ouverte, vive, créative, imprévisible », explique Xavier Lemettre, et parce qu’on y « croise tous les styles, entremêlés et collés ». Et ce jusqu’au 21 avril, avec des concerts quasi quotidiens.
Avec sa barbe imposante, son visage est aussi illustre que son nom et certains de ses écrits – comme Le Capital ou Le manifeste du parti communiste – figurent parmi les plus traduits en langues étrangères. Karl Marx a incontestablement marqué l’histoire, et encore aujourd’hui. Ses liens avec (...)
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