resultat du sondage
263 réponses
Mettre en place un plan d’urgence de formation des professionnel·le·s (police, justice, santé, etc.). | 91 |
Quand la victime a porté plainte, ne jamais classer sans suite sans avoir fait auditionner la victime et l’agresseur. Toujours informer la victime des suites de sa plainte, tout au long de la procédure. | 113 |
Appliquer le principe de précaution : toute plainte pour violences conjugales doit donner lieu à une protection de la victime. | 64 |
Mobiliser davantage les outils judiciaires de protection (ordonnance de protection, téléphone grave danger, mesure d’accompagnement protégé, espace de rencontre protégé, éviction du conjoint violent). | 58 |
Suspendre automatiquement jusqu’au jugement l’autorité parentale du conjoint auteur d’un féminicide. | 91 |
Confier l'exercice de l'autorité parentale exclusive à la mère en cas de violences conjugales. | 62 |
Créer 2 000 nouvelles places d’hébergement sécurisé dans des centres spécialisés non-mixtes. | 85 |
Permettre la sortie de l’hébergement d’urgence et de moyenne urgence vers du logement social pérenne. | 34 |
Ouvrir des centres de soin accessibles 24h/24h avec la possibilité de prélèvements médico-légaux, de soins, de prise de plainte et d’audition par des policier·e·s sélectionné·e·s, volontaires et formé·e·s (même si la victime ne souhaite pas porter plainte). | 78 |
Développer les consultations de prise en charge du psychotrauma pour les victimes de violences. | 40 |
Développer la prise en charge des hommes violents. | 53 |
Mettre en place des campagne régulières de communication sur les numéros d’information et d’urgence pour les femmes victimes de violences. | 13 |